Au Wigmore Hall, la pianiste athénienne Alexandra Nomidou a révélé une compréhension parfaitement naturelle du rubato qui devint de plus en plus impressionnante au fur et à mesure du déroulement de son récital (…) l’équilibre entre la poésie et la force atteignait la perfection.
Les Scènes d’enfants, les Papillons, et les Danses des Compagnons de David interprétés par une artiste au talent fou.
Une heure de grande musique. Un moment privilégié… La beauté de son jeu : indicible Dans les Etudes symphoniques de Schumann (…) un tel art fait de la maîtrise d’une technique transcendante, d’intelligence, de sensibilité, de délicatesse dans l’expression et de force à la fois : indescriptible. Jamais pareil chef d’œuvre n’inspira si hautement une interprète.
Dans le concerto n° 1 de Liszt, le chef d’orchestre et la soliste ont capté notre attention de la première à la dernière note… Musicalité fluide, un son brillant, une technique solide dans les passages très virtuoses… elle a fait ressortir le lyrisme intérieur de l’œuvre.
Chez Alexandra Nomidou, nous avons reconnu la grande pianiste. Elle a un contrôle absolu, une musicalité rare… Elle a utilisé son impressionnante technique avec naturel et liberté… Un son profond, clair, souple, impétueux ou aérien.
A propos de son rôle dans la pièce «Les Chants de l’aube» :
La musique apparaît comme un autre dialogue amoureux, traduit avec maestria par Alexandra Nomidou, pianiste exceptionnelle, envahie elle aussi par l’amour de Schumann.
La clef du paradis est entre les mains d’Alexandra Nomidou, Clara-pianiste qui vous fera revivre les œuvres de notre enchanteur, à la fois Eusebius et Florestan.
Alexandra Nomidou noue sur son clavier le lien le plus fort qui unisse ces deux natures…